Mardi
J s'est levé tôt, je pouvais l'entendre se déplacer évidemment à la recherche de son étui, il ne le trouverait certainement pas comme je l'ai fait pendant que son attention était détournée pour le déposer sur le côté du bateau, cela signifiait les seuls vêtements qu'il avait étaient ceux dans lesquels il se tenait debout, plus quelques chemises et un pull, tous deux dans son fourre-tout.
J'ai attendu un moment avant de descendre, j'ai sympathisé avec lui et l'ai rassuré que la valise devait être à l'aéroport en lui disant qu'on pourrait la récupérer plus tard dans la journée.
Nous avons pris le petit déjeuner, puis j'ai appelé l'aéroport en sachant très bien qu'il n'y avait aucun cas là-bas, quand j'ai partagé cette information avec lui, il était évidemment très inquiet, j'ai suggéré que nous attendions quelques jours pour donner à la compagnie aérienne une chance de le retrouver, si cela échouait, nous pouvions utiliser Internet pour commander des vêtements de remplacement, l'assurance les paierait
Il ne savait pas qu'aujourd'hui c'était le début de sa féminisation, j'ai ressenti un frisson d'anticipation à la joie que j'allais éprouver à devenir sa Domme, le début a été facile, il avait assez de vêtements mais évidemment pas de sous-vêtements propres, j'ai dit que je en avait à sa taille et est revenu avec une paire de culottes françaises en satin noir, je les avais délibérément choisies à cause du beau lustre du riche satin, il a évidemment protesté mais comme je l'ai dit, personne n'allait les voir et il était stupide
Quand il est revenu après avoir changé de sous-vêtements, j'ai ressenti un moment de triomphe, le premier obstacle avait été surmonté, il n'y avait pas de changement évident dans son apparence mais je pouvais en quelque sorte sentir que la caresse du satin l'effrayait, le fait qu'il était appréciant d'être un plaisir inattendu, je n'en ai fait aucune mention pendant la journée et nous avons rattrapé une montagne de paperasse
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